Tabula Rasa - Libre -

Après un long voyage en compagnie de sa jeune fille Aurore, Enrique était enfin arrivé à Papeete, une des îles paradisiaque qu'on voyait seulement sur les cartes postales : Paysage somptueux, plages au sable fin, jolie jeune fille etc..
Il faut avouer qu'Enrique avait toujours rêve de vivre sur une île comme celle ci, une île ou il pourrait se poser lui et sa fille, loin de toute l'agitation de Seattle ou de San Fransisco ! en bref une retraite mérité au soleil.
Étant jeune il regardait les photos des agences de voyages proposant des excursions dans les île du pacifique ou sur l'île de Pâques, il c'était juré d'y vivre un jour, et puis il y à d'abord eu sa carrière, puis sa famille et les années sont passées jusqu'à ce fameux jours d'automne, ou il envoya une lettre à son avocat, une lettre contenant un préavis de divorce..
Après un long voyage en avion de San Fransisco jusqu'à Papeete, les Lapaglias débarquèrent en ville, le temps de louer une voiture et de se rendre au restaurant conseiller par les sources du Businessman.
Pour l'hispanique ce restaurant pourrait être un bon point d'encrage pour lui et Aurore, de plus il ne pouvait pas s'empêcher d'y trouver un aspect financier intéressant, il entra et demanda à parler au responsable :

" Enrique : Bonjour : je suis Enrique Lapaglia et j'aimerais beaucoup investir dans votre établissement ! "

Leçon numéro une : ne jamais laisser de doutes dans la tête de son interlocuteur :

" Propriétaire :Eh bien je dirais que c'est assez brusque comme proposition ! je n'avais pas forcément l'intention de vendre ! "

Leçon numéro deux ne jamais faire dans le détail :

" Enrique : Votre prix sera le mien ! "

L'ancien commercial savait très bien que sa proposition n'était pas réfutable :

" Propriétaire : Dans ses conditions je doit vous avouer que je vais placer la barre très haut ! cet Établissement me rapporte beaucoup d'argent et je n'ai pas envie de le céder comme sa ! "

Enrique sourit :

" Je vous ai dit que votre prix serait le mien !"

L'hispanique sortit alors son chéquier et regarda son interlocuteur l'air de dire : combien..

" Dans ses conditions je signe de suite ! "

La Transaction avait pris 15 min et avait visiblement satisfait les deux parties, le genre d'accord donc Enrique était assez friand et habituer.

Aurore était arriver sur Papeete en voiture et à peine, ils avait poser le pied par terre son pére et elle, que ce dernier tenté de faire une affaire. Elle sur-éleva ses lunette de soleil sur ses cheveu blond et attendit en regardant le paysage.

**hum sa va etre chouette ici**

Au bout de quelque temps elle vit son pere rangeait son carnet de cheque dans sa poche, le sourire au lévre. Aurore s'avança vers lui et lui demanda:

"Me dit pas que tu as reussi à acheter ce restaurant ?" fit-elle en souriant.

Aurore lui souria et entra dans le restaurant, il y'avait pas mal de table avec de jolie nappe bleu et des chaise en osier.

En plus de cela il y avait une terrasse avec vue sur la mer.

"Oh oui je te conais tres bien, mais je croyais que tu avait decidez de prendre ta retraite"

Elle aimez bien le taquiner.

"Mais ne t'inquiete pas je suis tres ccontente"

Anna arriva au restaurant en Taxi, le chauffeur lui avait certifier que cette établisement était le plus chic.
Une fois entrée elle regarda tout autour d'elle, l'étude des lieux était primordial, elle avait apris ça avent même de marcher.

L'environement influence le client, mettez un cendrier salle entre deux machine à sous, dans le plus luxieux des décort au monde et tout les client ne verront plus ce qui rapporte de l'argent au casino.

L'une des rêgle pour tout les employer de Las Vegas, s'était d'ailleurs celle qui avait donner à cette ville toute sont inégalable sens du commerce.

Anna dit à voix basse;

"Ca ne vaut pas le Montecito"

Elle demanda une table et pris place tout en lisant la carte du menu.

Anna regarda cette homme d'âge mure congédier le serveur, elle en déduit qu'une tel autoritée ne pouvait signifier que 3 choses;

Soit il était le patron
soit une personnalitée importante
soit les deux en même temps.

tout à fait le genre de client qu'elle avait à Vegas.

"Si vous aimer jouer les serveur faite,..., A qui est je l'honneur?"

Anna souria et posa le menu.

"L'établisement ne me semble pas dout frait sortit de l'embalage,..., et le chauffeur qui ma conduite ici ma affirmer de la calitée de l'établisement. Je présume donc que vous venez de l'aquerire?,..., Anna Turner, avocate."

"A Las Vegas le marcher immobolier est bloquer. Généralement mes clients ne s'achêtes pas l'établissement, ils se comtente d'y acheter des chose exorbitante, à y perdre leur argent et a folmenter des rendez-vous peut cayholique. Dans des endrois où il n'y a pas de caméra. Vous restez exaptionnel."

Anna repris le menu.

"Je prendrais votre assortiment de volaille."

"Non, je suis seulement venu avec ma valise. Pour tout vous dire je ne sais même pas où je vais aller après ce repas. Pourquoi?, vous voulez m'en proposer?, vous avez besoin d'un avocat?"

Anna souria. L'idée que cette endrois soit une sorte de Las Vegas entourer d'eau était asser intérésente. Deplus, travailler avec un homme dont le pouvoir ce comparait au patron du casino dans lequel elle était ratacher était,..., également interesent.

Anna ce repassa les paroles de monsieur Lapaglia dans la tête. Elle n'arrivait pas à croire qu'elle avait une proposition d'emploi aussi vite. Surtout d'un homme qui n'avait pas du tout la même relation que sont ancien patron qui l'avait embocher avent même qu'elle n'aprenne à lire.

"Vous m'en voyez flatée,..., et j'acsepte avec grand plaisir. "